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3 janvier 2011 1 03 /01 /janvier /2011 09:15

Emmanuel VallsAlors là bravo ! moi qui me demandait bien ce qu'il y j'aurait à me mettre sous la dent à part la soupe froide servie au soir du 31 par notre cher Président, me voilà servi !

Un socialiste qui allume la mèche au risque de faire péter le vase sacré de Martine et Lionel, je n'en demandais pas tant !

Dès le départ, tout le monde sait que cette loi sur les 35 heures n'avait pas fait l'unanimité dans les rangs de gauche. Si une grande partie s'était rangé du côté du dogme, d'autres, notamment dans les syndicats, avaient crié au casse-gueule économique. Dans les rangs de la CFDT, ça grinçait même sévèrement. La plupart des syndicalistes sont des gens de terrain qui, même s'ils ont logiquement pour souci principal la défense du salarié, n'en demeurent pas moins des témoins privilégiés des difficultés concurrentiels de leurs entreprises.

Sous couvert de théories aussi légères que fausses, le gouvernement Jospin avait profité de l'embellie économique de l'époque pour plomber notre avenir avec ce boulet.

"Le sens de l'histoire va vers moins de travail et plus de loisirs", "Il faut partager le travail pour que tout le monde ait droit à une activité", "la productivité peut permettre de réduire les heures", et patati et patata.

Ils nous ont soigné avec leur théories fumantes.

Bref, quinze ans plus tard, ho surprise ! Le parti socialiste a découvert que l'économie était mondialisée, que le travail ne se partageait pas à l'infini et que les impératifs concurrentiels avaient largement désanvantagé nos PME/PMI.

 

Hier, dans sa déclaration, Manuel Valls n'a fait que lever un tabou sur un dogme auquel plus personne ne croit sincèrement. Evidemment, tous les politicards en mal de voix pour assurer leur élection aux  prochaines élections vont crier haut et fort, la main sur le coeur, que c'est une hérésie, qu'il ne faut toucher à rien et que c'est à cause du grand capital si l'on en est là !

 

Avec quatre millions de chômeurs, il serait temps de tirer un trait sur cette expérience malheureuse qui n'a fait que jeter l'opprobe sur la valeur travail, fondement de tout développement dans une société. Le développement de l'économie des loisirs était un leurre. Qui a pu croire que des populations désargentées, mais avec du temps libre, allaient faire tourner indéfiniment l'économie en s'endettant ?

Souvent la tentation, pour ces populations fragiles, fut trop forte et il ne serait pas inintéressant de faire une correlation entre la courbe de surrendettement des ménages et la mise en place des 35 heures et ses fameuses RTT.

 

 En attendant que les Benoit Hamon, Henri Emmanuelli et autre Mélanchon ne se déchainent après la déclaration de Manuel Valls, je reprends espoir pour qu'un courant social démocrate devienne majoritaire au parti socialiste et que ces derniers puissent être une alternative crédible proposée à des centristes qui ne demandent que cela, d'être au centre, pourvu que les deux camps de droite et de gauche, offrent des alternatives réellement crédibles.

A suivre !

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15 décembre 2010 3 15 /12 /décembre /2010 11:13

201012144d06e871c422a-0Sébastien Docq, président de l'association Zone Franche et par ailleurs jeune UMPéiste populaire ardennais, a une nouvelle fois présenté dernièrement la Zone franche comme un outil de maintien de l'emploi dans les Ardennes. On ne parle plus de développement depuis longtemps (trés exactement au lendemain des élections législatives de 2007...). Dans le genre,  voeu pieux électoral, qui se souvient également de ces comités d'investisseurs qui devaient se mettre en place pour faciliter les installations de nouveaux entrepreneurs ? Heureusement, les électeurs n'ont pas une mémoire d'éléphant.

Ce n'est tout de même pas une raison pour les prendre pour des jambons. Je ne peux pas être d'accord lorsque sous couvert de distributions d'exonérations fiscales et sociales, on nous explique sans sourciller que cela a permis de maintenir des emplois. Tout entrepreneur sérieux vous dira que le déclencheur d'un investissement n'est en aucun cas une aide ou une subvention mais tout simplement le moyen de répondre à un besoin économique susceptible de créer, de maintenir ou de développer une activité économique.

Bien souvent, les exonérations sont des effets d'aubaine qui, si elles sont les bienvenues pour faciliter la réalisation des business plan, ne sont en aucun cas des conditions préalables à l'investissement.

En clair, les zones franches ne sont qu'une liste d'aides qui au mieux ont permis de réaliser des économies pour certaines entreprises et, au pire, ont créé les conditions d'une concurrence locale déloyale.

Ainsi, le restaurateur installé depuis 20 ans peut se retrouver avec un concurrent en face de lui proposant des prix moindres en étant subventionné par l'Etat ou les collectivités locales.

A l'origine, à grand renfort de publicités, on nous avait annoncé monts et merveilles pour faire investir des entreprises extérieures dans notre département. Qu'en est-il trois ans plus tard ? Pschitt .... comme disait Jacques C de Paris ! 

Ce qui pousse avant tout les entreprises à venir, ce sont des infracstructures, des compétences techniques et humaines, un cadre de vie, pas des exonérations que l'on retrouvent en grande partie dans la plupart des territoires sous forme d'actions volontaires de la part des collectivités locales.

 

Finalement, depuis trois ans, cette zone franche est un hold up permanent !

Sebastien Docq, peut-être inconsciemment, veut nous faire prendre des vessies pour des lanternes en appropriant à la zone franche le mérite qui revient aux seuls entrepreneurs et en faisant fi des dommages colatéraux que représentent les risques de concurrence déloyale ou de délocalisations "sauts de puce" d'un canton à l'autre.

 

Excepté les membres de l'association, qui croit encore (peut-être ?) à cet outil initialement surmédiatisé ?  Le Conseil Général ? La CCI ? ,qui, après avoir communiqué abondamment à ce sujet, sont devenus aphones. Je me souviens notamment d'un stand du CG installé en 2007  au salon international du transport et de la logistique à Villepinte, où l'on vantait les exonérations fiscales et sociales pour les nouveaux investisseurs au détriment des entreprises locales qui n'avaient d'ailleurs pas été invitées pour l'occasion ! Nos impôts servaient à rincer nos élus et futurs concurrents !!

Côté CCI, le temps des pleines pages dans l'Ardennais est bien révolu.

 

Le hold up se terminera fin 2011. Que va t'on nous pondre derrière ?

A suivre !

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10 décembre 2010 5 10 /12 /décembre /2010 12:40

eurostructure2Malheureusement, ce matin, je découvre dans le quotidien local l'annonce, en première page, du redressement judiciaire d'Euro Structure.

Quel dommage que le journal n'ait pu garder le silence pour ne pas ajouter encore un peu plus aux difficultés que ne doivent pas manquer de rencontrer leurs dirigeants.

Depuis quelques mois, les problèmes étaient connus du microcosme local mais chacun avait eu la sagesse de se taire pour éviter tout dégât social et économique.

 

Parti de rien, Eric Groën et son épouse Marina ont réussi en quelques années à construire ce magnifique outil de production à la seule force de leur travail. Oh bien sûr, ce n'est pas toujours facile de travailler avec des gens qui ont une si grande force de caractère mais on ne peut qu'être admiratif devant une telle montée en puissance qui a permis l'embauche de 70 salariés.  Pour avoir travaillé dans cette belle entreprise, je peux attester des qualités de ces dirigeants, totalement désinterressés mais complêtement passionnés par leur métier.

Cette passion est parfois soumise aux excès mais toujours pour le bien de leur entreprise et jamais à leur profilt personnel. Je garde au final un trés bon souvenir de mon passage dans cette maison.

 

Victimes d'une crise sans précédent qui a stoppé en grande partie les projets de leurs clients potentiels, victimes de collectivités locales qui, faute de clarté sur leurs revenus fiscaux à venir, ont gelé leurs investissements, victimes d'une hausse exceptionnelle du prix des matières premières tirées vers le haut par une économie mondiale restée en croissance hors des zones Europe et Américaine, victimes d'impayés, les dirigeants de cette entreprise, fleuron ardennais, ont du se résigner à rendre provisoirement les armes.

 

Je souhaite à présent que l'annonce dans le journal ne permettent pas aux habituels oiseaux de mauvais augure, aux envieux et autres médiocres de tout poil, de se jeter sur la bête blessée.

Nous avons besoin d'entreprises comme celle-ci, avec des dirigeants locaux qui vivent et consomment sur place, qui font tourner l'économie ardennaise et donnent du travail à notre population sans jamais avoir la tentation de délocaliser ou de faire un "coup financier" en vendant leur boutique.

Et pourtant, des occasions de faire de l'argent, ils en ont eu, croyez-moi, avec des propositions alléchantes de groupes (indien par exemple...) qui rêvaient de voir cette superbe usine s'ajouter à leur collection. Ils ont toujours refusé.

On dit souvent du Français que, lorsqu'il voit passer une belle voiture, il rêve de voir le conducteur marcher sur le trottoir à ses côtés. Si seulement nous pouvions cette fois-ci souhaiter qu'il garde sa belle voiture en faisant le voeu de parvenir, en travaillant aussi durs qu'eux, à rouler un jour à leur côté....

 

En attendant, je souhaite, pour le bien de notre économie, pour le bien de leurs salariés et pour eux, que cette entreprise reparte de plus belle et qu'Eric Groën puisse continuer à faire profiter ses futurs clients de ses talents exceptionnels de concepteur de charpentes.

A suivre...

 

 

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8 décembre 2010 3 08 /12 /décembre /2010 10:15

IMG 1667Au lendemain du bide retentissant de l'appel à vider les comptes bancaires du fantasque Eric Cantona (un blaireau en matière d'économie mais quelle champion et quelle classe au niveau foot !), je ne retiendrai dérrière cette initiative qu'une nouvelle dénonciation de la dérive financière du capitalisme.

Alors que le capitalisme visait initialement à encourager la liberté d'entreprendre et la régulation automatique des marchés par le biais de l'offre et de la demande, ilest petit à petit devenu un système oligarchique où quelques uns font la pluie et le beau temps, où la concurrence n'existe plus et où l'offre et la demande n'est plus réelle mais fictive et entièrement dirigée par les marchés financiers.

En clair, ce ne sont plus les entrepreneurs qui font l'économie mais les indices financiers des places boursières.

Dans ces conditions, comment s'étonner devant la disparition de l'entreprenariat ?

Là où l'entrepreneur était envié ou admiré pour son courage d'entreprendre et sa faculté à créer de la richesse (pour lui, pour sa région, pour ses salariés), il est à présent pris pour un fou et l'on est déjà admiratif dès lors qu'il est capable de faire face à ses trop nombreuses charges. Je ne vous parle pas de son retour sur investissement...

 

Evidemment, je généralise. Heureusement tous ne subissent pas cette situation. Toutefois, le statut de l'auto-entrepreneur, sorte de patron version "cheap", est là pour nous rappeler que, décidemment, le capitalisme et l'esprit d'initiative ne sont plus forcément sur le même chemin.

 

Au milieu de ce capitalisme financier outrancier, émerge une nouvelle forme d'entreprenariat.

Un entreprenariat social et solidaire qui place l'homme au coeur de toutes ses décisions.

L'insertion par l'activité économique est en train de réinventer ce qui faisait l'énergie des premiers entrepreneurs. Trouver une niche économique, trouver l'idée qui répondra à une demande encore peu explorée (ou à venir), l'exploiter, la développer, la faire prospérer.

La différence fondamentale tient dans la finalité de l'entreprenariat social et solidaire. Son but n'est pas de faire de l'argent pour le distribuer aux actionnaires mais il de créer de l'activité pour proposer du travail à ceux qui sont au ban de la société (je n'ose pas vous dire le nombre de titulaire de baccalauréat que l'on rerouve parmi les candidatures...) ou pour réinvestir dans l'outil de travail.

Sans tomber dans la béatitude naïve, ce nouveau modèle économique a une vraie chance de développement parce qu'il répond à des valeurs qui vont bien au delà des frontières politiques conventionnelles. Les projets ardennais d'éco construction, de traitement des plaquettes bois pour le chauffage ou de taille de pierres pour la rénovation du Patrimoine, sont autant de projet qui ont une vraie viabilité économique pour peu qu'il reste des entrepreneurs capables de les mettre en exergue. L'insertion par l'activité économique dispose des hommes et des femmes capables de réussir.

Je vous tiendrai au courant !

A suivre...

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29 novembre 2010 1 29 /11 /novembre /2010 09:53

Image1Il n'y a pas que la neige qui m'ait refroidi ce matin ! Les auto entrepreneurs reçoivent ces jours ci des avis d'impostion au titre de la taxe remplaçant la taxe professionnelle.

Rien d'anormal me direz-vous ?

Oui, sauf que la totalité sont imposables même en cas de chiffre d'affaires égal à zéro !! Passé la première année d'éxonération, tous se verront imposés en fonction de leur locaux y compris leur habitation personnelle.

On croit rêver. Chassez le naturel, il revient au galop. La culture de l'impôt en France est vraiment devenu insupportable. Comment peut-on arriver à prélever des impôts sur des entreprises ne réalisant aucune activité !

L'auto entreprise a été créée pour favoriser l'éclosion de nouvelles activités et pour lutter contre le travail au noir. Si tout n'est pas parfait, notamment en regard de la concurrence que peuvent représenter ces derniers pour les entreprises classiques, ce système a au moins l'avantage de favoriser l'esprit d'entreprise et l'initiative individuelle. Elle peut être le creuset d'expérimentations ne nécessitant pas d'investissements lourds ou d'appels aux banques.

Les avis d'imposition qui arrivent actuellement chez les auto entrepreneurs vont certainement mettre un sérieux frein à ce dispositif.

A suivre ...

 

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8 novembre 2010 1 08 /11 /novembre /2010 10:14

201011094cd8c7b09535d-0Lorsque j'ai créé ce blog (je sais, ce n'est pas ce que j'ai fait de plus malin !), l'un de mes premiers articles était consacré au capitalisme à papa. L'entreprise à capitaux familiaux, celle après qui on peut râler en touchant du doigt le patron. Celle du patron qui passe son temps à se plaindre mais qui se bat du matin au soir pour que ses salariés aient du boulot.

Cette race d'entreprise, ce type de patron est en train de disparaître.

Devant chaque entreprise Ardennaise à capitaux familiaux, il faudrait un écriteau indiquant "race en voie d'extinction, merci de ne pas tirer dessus". Au premier chef des chasseurs, je citerais l'Etat qui, au contraire du capitalisme financier qui lui glisse régulièrement entre les doigts (pour ne pas dire tout le temps), se refait la cerise sur le dos de l'entrepreneur local qui, lui, ne peut pas déménager son outil de travail. Du moins, c'est ce que croit l'Etat. A force de taxer l'entreprenariat, certains sautent le pas et quitte la France en partant à quelques kilomètres, par exemple au Luxembourg.

 

Mais revenons-en à notre capitaliste en voix d'extinction, l'entrepreneur Français. La récente annonce de la fermeture de DELPHI, drâme annoncé depuis des années était malheureusement plus que prévisible. Les Sedanais ont connu cette entreprise à plus de 1000 salariés il y a moins de 10 ans. Depuis, l'écroulement de l'industrie automobile américaine, les difficultés financières de l'équipementier DELPHI et le cout du travail Français ont fini d'achever cep oumon économique local. Ils ne sont plus que 290 à prendre le coup de massue sur la tête.

Cette fermeture succède à Glaverbel à Donchery et précède d'autres qui ne surprendront pas plus la population locale ou, du moins, ce qu'il en restera...

 

Je propose, afin d'arrêter l'hémorragie, de remettre à l'honneur l'entrepreneur, le vrai. Celui qui vit au rythme de son entreprise, pas celui qui vit au rythme du cours en bourse.

Plutôt que de défiscaliser les placements immobiliers qui aboutissent à la construction d'immeubles neufs en plein Sedan par des sociétés financières, lorsque les trois quarts de la population n'ont pas le premier sou pour s'y installer, je propose que l'on défiscalise les placements vers les entreprises locales.

La plupart des entrepreneurs crèvent de ne pas avoir de capitaux suffisants, crèvent de ne pas avoir de fonds de roulement, pas de moyens pour investir.

Proposons aux contribuables la seule alternative d'investir dans le capital de PME locales ou de payer l'impôt. Stoppons toutes les niches fiscales dont le retour en terme de retombées économiques n'est que superficiel. Les niches fiscales immobilières soutiennent le secteur du batiment sur le court terme alors que les niches fiscales dans le domaine de la re-capitalisation permettrait de l'investissement en outils de production, en ingenierie ou autre et seraient donc créatrices d'emplois à moyens et longs termes.

 

La sauvegarde de notre patrimoine entreprenarial doit devenir notre obsession au risque d'être rapidement et définitivement les spectateurs d'une économie à capitaux étrangers qui quitte le pays au rythme des intérêts financiers de places boursières situées au quatre coins du monde.

Il est grand temps de mettre au pas ceux qui continuent à mélanger allègrement les entreprises à capitaux locaux avec les grandes multinationales sans visage.

A suivre... 

 

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 23:16

usine1Le journal local déroule chaque jour la longue litanie des destructions d'emplois et des fermetures d'usines.

Nostalgie.

Il est loin le temps où le patron paternaliste descendait au petit matin pour faire le tour de sa boutique. il est loin le temps où l'on pouvait toucher le patron du doigt, le temps où l'on pouvait mettre un visage et un nom sur son patron, le temps où l'on pouvait raler après lui et le respecter en même temps.

Tout simplement, il est loin le temps où les pouvoirs de décision étaient locaux et pas hors du lieu de production.  Sous couvert du Capitalisme financier et d'un soit disant libéralisme, la concurrence s'est de plus en plus réduite jusqu'à ce point où quelques-uns décident de l'avenir de milliers, loin des lieux de production et des réalités de la vie.

Dans le Capitalisme de papa, le patron connaissait ces réalités quotidiennes, connaissait ses ouvriers, étaient attachés à son pays, à ses traditions. il était un enfant du cru ou issu d'une famille qui avait réussit, que l'on jalousait parfois mais qui donnait du boulot. Pour cela, il était reconnu et, bien souvent, cela suffisait à son bonheur.

Ce capitalisme à l'ancienne, paternaliste, à la François Sommer, finalement, c'était pas si mal !

Toujours mieux que ce Capitalisme financier, impersonnel et sans âme, qui sacrifie aujourd'hui sur l'autel de la rentabilité à court terme ce que des générations de patrons avaient construit dans la douleur avec leurs ouvriers.

Le Centre défend une certaine idée du Capitalisme dans lequel l'homme n'est pas mis à mal comme il l'est actuellement par le modèle proposé. En ce sens, l'influence du Centre peut remettre la PME au centre du jeu plutôt qu'un capitalisme furieux visant à la globalisation et à la seule et unique logique du profit financier immédiat.

On n'est bien loin de l'esprit d'entreprise et du paternalisme que l'on croisait dans notre département Ardennais. Bien malins sont ceux qui pourraient dire qui tirent les ficelles des fragiles emplois de nos usines Ardennaises en 2010....

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Le Blog D'olivier Laurant

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