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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 21:41

martine aubryMartine Aubry, première secrétaire du PS, n'hésitait pas à déclarer il y a quelques semaines encore que le recul de l'âge de la retraite au delà de 60 ans ne devait pas être éludé. Cette déclaration, c'était avant le rappel à l'ordre de l'aile gauche du parti, les gardiens du temple. Ceux qui permettent au PS de rester bien ancrés dans ses archaismes au seul motif qu'il ne faut pas déplaire à l'électorat traditionnel de gauche.

Résultat, le PS vient de nous servir la soupe habituelle : taxer le capital (parce qu'ils s'en foutent plein les fouilles), ne pas augmenter l'âge de départ à la retraite (parce que le travail, c'est caca. A noter que Martine Aubry nous avait déjà fait le même coup avec les 35h en annonçant fièrement que le sens de l'histoire était de travailler toujours moins. Eh ben voyons ! On voit bien que ce n'est pas elle qui a eu à gérer ce concept bobo dans une PME et je sais de quoi je parle), jeter l'opprobe sur la finance (c'est aussi des méchants et, à eux tout seuls, ils vont payer toutes nos retraites ces salauds).

Stop !

Faire croire que l'allongement de la vie et le départ à la retraite des baby boomers conjugués à l'entrée dans la vie active plus tardive et le chômage de masse ne necessite pas que l'on cotise plus longtemps est un contresens et un mensonge que seul l'horizon 2012 peut justifier de la part des socialistes.

Définitivement, malgré des personnalités trés capables, l'appareil du Parti fini toujours par faire pencher du côté des démagos.

C'est si décevant de la part d'un Parti que l'on a senti un court instant capable de basculer dans la sociale démocratie et qui pour peu, nous promettrait à nouveau le grand soir !

Jean-Luc Mélanchon et consorts peuvent être rassurés. Le toutou est rentré dans sa niche.

 

Les Centristes font preuve, de ceux du Mo-Dem aux égarés dans l'UMP, en passant par ceux du Nouveau Centre et de l'Alliance Centriste de beaucoup plus de responsabilités. Gagner des élections, oui, mais pas au prix du mensonge. C'en est assez que les générations futures paient les inconsistances des responsables actuels.

 

Le Centre doit être le lieu de raison, l'endroit où l'on ne tombe pas dans la caricature. Oui, les revenus du capital doivent participer à l'effort, oui, les banques ne sont pas des exemples de moralité, oui certains métiers ne permettent pas d'être pratiqué au delà d'un certain âge. Non, le capital et les banques ne paieront pas tout, non, nous ne pourrons pas indéfiniment maintenir un temps de travail équivalent avec moins d'actifs et plus de retraités.

Nous devons montrer la voie ....à suivre ! 

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16 mai 2010 7 16 /05 /mai /2010 23:12

Voici ci-dessous les grandes lignes des prémisses du plan de sauvetage des retraites que devrait proposer le gouvernement Fillion en juin prochain. Ces premières propostions me semblent aller dans le bon sens. Reste à voir ce qu'il en restera sous la pression des syndicats et de la rue

 

images-copie-1Dans un "document d'orientation" envoyé dimanche soir aux syndicats dans le cadre de la réforme des retraires, Eric Worteh, ministre du Travail confirme qu'il faudra travailler plus longtemps et propose de taxer les hauts revenus pour financer les retraires, rapporte Lefigaro.fr.

Parmi les solutions envisagées pour apporter une "réponse durable" aux difficultés financières des régimes de retraites: augmenter la durée d'activité de tous les salariés et taxer les hauts revenus et les revenus du capital .

Selon le document, "le gouvernement fera de l'augmentation de la durée d'activité le socle d'une réponse durable et juste" pour faire face au "déséquilibre démographique".

Le gouvernement retient 2 pistes: allonger la durée de cotisation ou reculer l'âge légal de départ à la retraite, actuellement fixé à 60 ans. Selon Lemonde.fr, le gouvernement annoncera son choix en juin.

Le gouvernement souhaite instaurer une contribution supplémentaire de solidarité sur les hauts revenus et les revenus du capital.Le document précise que "s'agissant des particuliers, cette contribution ne donnera pas droit à restitution au titre du bouclier fiscal".

En revanche, le gouvernement exclut certaines pistes: celle d'une baisse des pensions de retraite et une hausse générale des impôts, indique Lemonde.fr.

 

A suivre !

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10 mai 2010 1 10 /05 /mai /2010 22:05

bayrouPropos reccueillis par Associated Press

"Le président du Mouvement Démocrate François Bayrou a estimé lundi qu'"il serait raisonnable" de demander aux Français de partir plus tard à la retraite.

"Il faudra faire bouger l'âge de la retraite", a-t-il dit sur France-Info. "On gagne un trimestre d'espérance de vie par an. Il serait raisonnable que l'on fasse un partage dans cette espérance de vie nouvelle entre la part qu'on consacrera au travail et la part qu'on consacrera à la retraite".

Selon le président du MoDem la réforme des retraites est "nécessaire et vitale et indispensable" et ceux qui expliquent qu'il n'y a pas besoin de réforme "sont des illusionnistes" qui "sont en train de (nous) conduire, hélas, au mur."

M. Bayrou a par ailleurs jugé que la promesse faite lundi lors du sommet social par le président de la République de mettre à contribution les "hauts revenus" et les "revenus du capital" était une "bonne décision", mais qui aurait pu être prise depuis longtemps.

"On a fait des cadeaux fiscaux probablement à la partie la plus favorisée de la nation", a-t-il souligné. "Je suis pour qu'on rééquilibre les comptes et ça ne peut pas se faire si on ne fait pas participer des revenus qui pour l'instant échappent à la contribution, ou en tout cas participent moins à la contribution. Ne serait-ce que symboliquement, c'est très important", a-t-il affirmé."

 

La position de François Bayrou tombe sous le sens. On ne peut pas rester indéfiniment dans l'immobilisme en feignant de ne pas voir les évolutions de la vie. Le sexagénaire des années 2010 n'a plus grand chose de commun avec celui des années 80.

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3 mai 2010 1 03 /05 /mai /2010 17:22

Le buzz du jour tourne autour du débat sur l'âge légal de départ à la retraite. Encore une fois, on ne peut malheureusement constater que l'énorme décalage qui existe entre le pouvoir politique et la rue.

Sur la brocante de la commune hier matin, les conversations sont toutes tournées vers l'avenir professionnel de l'un ou de l'autre :

"Oh lui, ça va, si l'usine ferme, ce n'est pas grâve, il a 50 ans ..."

"A 53 ans, plus que cinq ans et je me fais virer par le patron. De toute façon, on est trop nombreux ..."

"J'ai demandé mon départ à la retraite, la patron a pas voulu alors je me suis fait mettre en longue maladie ..."

"Place aux jeunes, j'ai commencé à 16 ans, j'en ai jusque là ! ...."

" Le patron m'a proposé une prime de 30 000 € pour partir en départ volontaire. Avec le chômage, ça devrait m'amener jusqu'à la retraite" et ainsi de suite ...

 

Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'ambiance n'est pas vraiment à l'optimisme. Entre ras le bol du travail et fatalisme devant la situation économique, rare sont ceux qui arrivent à se projeter jusqu'à leur 60 ans dans le monde du travail.

Pourtant, il en existe. Souvent placés dans des emplois d'encadrement ou de responsabilité, ils se verraient bien poursuivre quelques années encore comme le permet la loi (65 ans). Mais cette fois-ci, c'est l'entreprise ou, pire que cela, les autres salariés qui les poussent vers la sortie.

"Tu prends la place d'un jeune !", "Alors, le vieux, toujours là ?", "T'en as pas marre, non ! y'a des jeunes qui attendent !"

 

En résumé, il ne suffit pas de décréter que l'âge de la retraite est repoussé à 63 ans pour régler le problème du financement des retraites. C'est tout un travail pédagogique sur l'ensemble de la population qui est à faire.

A cinquante ans, les salariés ne parlent plus que de retraite, les patrons ne pensent plus qu'à se débarrasser d'eux et l'opinion publique juge unanimement qu'ils doivent laisser la place aux jeunes. Ca ne vas pas être simple à changer tout celà !

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18 avril 2010 7 18 /04 /avril /2010 10:15
Thierry BENOITThierry Benoit (député Alliance Centriste) pose, à son tour, quelques principes de base que je rejoints totalement. Tout comme les points exposés par Robert Rochefort (Modem), ces remarques sont frappés de bon sens et devraient aller au delà des clivages politiques.
A lire.
Thierry Benoit a affirmé, ce matin, dans les colonnes du quotidien Ouest-France ses convictions politiques en matière de réforme des retraites. Transcendant les querelles idéologiques traditionnelles, il propose une réflexion accrue sur la durée hebdomadaire du temps de travail et un retour aux 39 heures pour les 25–55 ans. Au-delà de ces questions, le député de Fougères appelle de ses vœux la disparition de certaines niches fiscales, aussi indécentes pour le grand public que préjudiciables aux finances publiques :
 
Préalables à la réforme
 
« Le droit à la retraite à 60 ans devrait être préservé. Plus que l’âge, ce qui compte, c’est la durée de cotisation. Ensuite, il faut harmoniser les statuts. On connaît les facteurs d’injustice et d’iniquité : les vingt-cinq meilleures années pour le privé, les six derniers mois pour le public, les régimes spéciaux des parlementaires, de la RATP, de la SNCF, d’EDF... »
 
La loi TEPA en question
 
« Dans la loi Travail, Emploi, Pouvoir d’achat (TEPA), deux dispositifs posent question, le bouclier fiscal – j’ai voté son abrogation proposée par le Parti socialiste – et la défiscalisation des heures supplémentaires. Le bouclier fiscal, c’est à peu près 500-600 millions d’euros, les heures supplémentaires défiscalisées, de l’ordre de quatre milliards d’euros. ».
 
Un retour aux 39 heures pour les 25-55 ans
 

« Je suis convaincu que, parallèlement à la réforme des retraites, il faut retravailler sur la durée hebdomadaire du travail. Avant d’expliquer aux salariés qu’il faut travailler jusqu’à 62 ou 63 ans, il faut se poser la question d’un retour aux 39 heures pour les salariés en pleine force de l’âge, entre 25 et 55 ans. Les 35 heures coûtent deux points de PIB, c’est-à-dire 40 milliards chaque année.

La moyenne des heures travaillées, y compris les heures supplémentaires, tourne autour de 38h – 38h30. La question de la durée hebdomadaire est posée. Elle s’accompagnerait d’un relèvement des salaires, d’un aménagement de carrière au-delà de 55 ans et d’une prise en compte des années consacrées à élever les enfants ».

 
Alors que les salariés sont mis à contribution, pourquoi ne pas taxer le capital ?
 
« Il faut regarder l’assujettissement des bénéfices des entreprises non réinvestis, la CSG (Contribution Sociale Généralisée) sur l’intéressement, la participation et les retraites élevées, la taxation des stock-options, des plus-values et des retraites-chapeau. Et peut-être relever les cotisations d’un point ».
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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 18:31

Dans une interview réalisée par l'Associated press, Robert Rochefort, député Européen Modem, expose son sentiment sur le problème du financement des retraites. Je partage totalement son point de vue et le trouve même plein de bon sens. Ce genre d'exposé peut servir de fonds pour une base de travail et ses propositions sont à retenir pour le débat des prochains mois.

 

propos recueillis par AP

Robert Rochefort"Robert Rochefort, député européen du Mouvement Démocrate, a été interrogé mercredi 14 avril par l'Associated Press (AP) concernant la réforme des retraites en France.

Pour Robert Rochefort, l'allongement de la durée de vie professionnelle semble inéluctable pour assurer le financement futur des retraites, mais il ne peut être réalisé dans les conditions actuelles du marché de l'emploi, estiment des spécialistes pour qui il faut surtout repenser la place du travail dans la société, et revaloriser celui des aînés.

"La vraie question n'est pas celle des retraites mais celle du travail",
a-t-il affirmé, ajoutant que le vieillissement démographique et les départs massifs à la retraite des baby-boomers impliquent que l'"on va devoir travailler plus longtemps pour payer les retraites".


"Il faudra donc réinventer le travail après 60 ans car en France, où la productivité horaire est vive en raison notamment des 35 heures, les gens sont épuisés dès 55 ans", a encore ajouté Robert Rochefort.

Si des mesures favorisant les naissances ou l'immigration permettraient d'atténuer cette évolution démographique, selon lui, elles ne la supprimeraient pas. "L'espérance de vie augmente: non seulement la mort recule, mais aussi la vieillesse", affirme encore Robert Rochefort.

Il soutient également le besoin d'une réflexion globale, qui tienne compte de la place et de la forme du travail dans la société, de l'articulation des temps de vie et des aspirations des travailleurs.

"Si on fait fi de ces paramètres, on aura une réforme inapplicable et on ira droit dans le mur", avertit Robert Rochefort. "Il n'y a rien de pire que d'aborder la question des retraites d'un point de vue purement comptable", en ne faisant que "déplacer le curseur" pour augmenter l'âge de départ à la retraite, fixé aujourd'hui à 60 ans, ou la durée de cotisation.

Selon lui, la clé de la réussite réside dans un système plus souple autorisant notamment le travail à temps partiel, le cumul emploi-retraite ou le bénévolat sans perte de points de retraite. Les entreprises seraient mises à contribution et devraient investir dans la formation des salariés "dès 45 ans pour les préparer à l'emploi qu'ils auront à partir de 55 ans".

L'essentiel, conclue Robert Rochefort, est de s'assurer que le temps supplémentaire travaillé ne soit pas supérieur au gain d'espérance de vie."

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12 avril 2010 1 12 /04 /avril /2010 14:45

images retraiteCe dossier aura au moins un mérite, c'est celui de mettre à nu les courageux et les couards du monde politique. On sent bien que le réglement du problème des retraites dépasse les clivages politiques habituels et qu'il faudra aller au delà des simples postures dogmatiques ou des prises de position floues.

Il va falloir rentrer dans le dur !

A quel âge doit-on partir en retraite ? Doit-on tous partir au même âge ? Combien d'années de cotisations ? Qui pour payer les retraites ? Le travail ou le Travail et le Capital ? Faut-il intégrer une dose de fonds de pension privé ? Qui doit payer la nécessaire revalorisation des pensions des artisans, des commerçants ou des agriculteurs ? Peut-on et doit-on encore accepter les niches fiscales et les départs en retraite à 50 ans ou à 55 ans ? Doit-on pénaliser financièrement les entreprises qui débauchent systématiquement le personnel sénior avant l'âge légal de la retraite ? etc...

Toutes ces questions méritent un débat sérieux, loin des préjugés, empreint de courage et de refus des clichés droite - gauche. Quels sont ceux qui oseront aller au delà de la ligne directrice dictée du haut de leurs appareils politiques respectifs ?

Seuls les plus courageux d'entre eux oseront bousculer les lignes et faire avancer le crucial problème du financement des retraites. Sur ce point , j'attends avec impatience les Centristes qui, par tradition, sont les plus en pointe et les plus courageux sur ce genre de sujet.

A suivre...

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5 avril 2010 1 05 /04 /avril /2010 08:08

humour-retraite

Voilà un vrai sujet de société à traiter au petit matin en se levant !

A 38 ans, après 18 années de cotisations, une chose est sûre, je n'y ai pas droit !

D'ailleurs, à quoi ressemblera t'elle ? Aurais-je un minimum vieillesse ? à quel âge ? pour combien d'années de cotisations ? en voilà des questions !

Eric Woerth lance une consultation des partenaires sociaux à partir du 12 avril prochain. Les sujets ne manqueront pas. Pour ma part, à ce stade de la discussion, je me contenterai d'évoquer quelques point indiscutables qu'il faudra bien intégrer dans le projet final.

1 - Tout le monde ne rêve pas de partir à la retraite le plus vite possible. Certains, comble de la honte, aiment bien leur travail !

2 - D'autres ont des travaux pénibles qui ne disposent pas actuellement de dispositifs de départs anticipés.

3 - D'autres encore ont des emplois non pénibles (ou plus ...) qui disposent, à l'inverse, de dispositifs de départs anticipés (attention, ce sont des acquis sociaux, je vais me fâcher avec plein de monde avec cette remarque !)

4 - Les jeunes commencent à travailler de plus en plus tard, soit grâce aux études, soit à cause du manque d'emplois.

5 - La plupart des salariés accepterait un départ à la retraite à la carte, c'est à dire de partir plus tôt ou plus tard en acceptant, soit une dépréciation, soit une appréciation de leur montant de retraite.

6 - Les entreprises considèrent les cinquantenaires comme des personnes d'expérience ...qui coûtent chers et qu'il faut penser à remplacer au plus vite. Attention au prochain plan social !

7 - La plupart des mêmes entreprises appécierait un départ progressif de leurs ainés afin de préparer le remplaçant à la succession.

8 - L'idée d'un départ à la retraite progressif pourrait ainsi permettre de transmettre le savoir en allégeant petit à petit la charge de travail des ainés sans les mettre sur le bas côté.

9 - tout ce que je viens de dire ci-dessus n'est pas recevable pour ceux d'entre nous qui occupent des emplois pénibles physiquement et pour lesquels la solidarité nationale doit se mettre en place.

10 - Il n'est pas normal que les artisans, petits entrepreneurs et paysans qui prennent des risques toute leur vie n'aient pas droit à une retraite décente, ne serait-ce que pour les remercier du dynamisme qu'ils ont apporté au pays, bien souvent pendant des dizaines d'années, sans prendre de congés et sans faire fortune.

11 - Comment fait-on avec ces millions de personnes qui ne pourront jamais atteindre le nombre d'années de cotisations du fait de leur âge de départ dans la vie activie ou du fait de leur âge de départ obligatoire à la retraite.

12 - Comment différencier ceux qui donnent toute leur vie en bénévolat au service des autres de ceux qui vivent toute leur vie replié sur eux ou uniquement en consommateur et jamais en acteur ?

13 - Doit-on obliger à un âge de départ à la retraite ? Si oui, pourquoi 65 ans alors même que les politiques débutent leur carrière à cet âge !!  J'exagère un peu mais bon ,au Sénat ....

14 - Le taux de natalité Français rend moins dramatique l'avenir de nos retraites que chez la quasi-totalité de nos proches voisins.

15 - La question des retraites complémentaires type "fonds de pension" devra être mise sur la table et pas éludée à la première discussion sous couvert de dogmes ou de principes réducteurs. 

 

Voilà quelques point jetés en vrac en attendant que les premières discussions s'engagent. A coup sûr, la réussite d'une telle réforme devra savamment mélanger la solidarité pour certains, la liberté pour d'autres et intégrer une grande dose de flexibilité pour ouvrir la porte à un maximum de moyens permettant de cotiser plus longtemps. 

 

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Le Blog D'olivier Laurant

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